Il est le lointain ancêtre direct de l’écrivain Auguste de Villiers de L’Isle-Adam (1838-1889) qui n’a personnellement aucun autre lien que généalogique avec la commune dont il ensemble real madrid porte le nom. Philippe de Villiers de L’Isle-Adam (1464-1534), grand maître de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1521, était un fils cadet de Jacques de Villiers, seigneur de L’Isle-Adam. Une ville se nomme dans le roman La Ville-aux-Fayes, hommage déguisé à la commune et à son maire de l’époque, ami de l’écrivain, Philippe de Villers-la-Faye. Honoré de Balzac (1799-1850) séjourne à L’Isle-Adam en 1827 sur une invitation du maire son ami, maillot de foot vintage puis plusieurs fois par la suite. Enfin, dans Le Médecin de campagne, Balzac s’inspire pour son personnage de Benassis du docteur Bossion, médecin de L’Isle-Adam, enterré dans la commune. Dans Les Paysans, Balzac glisse à nouveau de nombreuses références à L’Isle-Adam. Dans une lettre à sa sœur datée fin octobre 1819, il écrit « Tu sais que L’Isle-Adam est mon paradis terrestre, et qu’il influe beaucoup sur moi. L’auteur de La Comédie humaine écrivit à sa sœur, Laure Surville : « Tu sais que L’Isle-Adam est mon paradis terrestre », phrase gravée sur la statue qui lui rend hommage. Mon ermitage était voisin du parc de Cassan, la plus suave retraite, la plus voluptueuse à voir, la plus coquette pour le promeneur, la plus humide en été de toutes celles que le luxe et l’art ont créées…
». Physiologie du mariage comprend également de nombreuses références à la ville du début du XIXe siècle, ainsi, un des personnages, dénommé Coco de Cassan, évoque le singe logé dans la maison Ollivier et transféré plus tard au Jardin des Plantes à Paris. Dans Un début dans la vie, il évoque son voyage en diligence depuis Paris jusqu’à L’Isle-Adam et raconte, avec force détails, son itinéraire et son cocher, Adamois célèbre de l’époque, Pierrottin, fondateur du service de diligence entre la ville et la capitale. Les points faibles du joueur est la vitesse de course, la qualité technique dans les petites espaces et les passes transversales. Cet article est une ébauche concernant une série télévisée catalane. Il l’évoque notamment dans Physiologie du mariage, qu’il écrit à L’Isle-Adam, en ces termes : « En 1819 j’habitais une chaumière au sein de la délicieuse vallée de l’Isle-Adam. Son action en tant que sénateur national, à partir de 1932, ne cessera de l’éloigner de plus en plus des démocrates nationaux au pouvoir, tandis que dans le même temps, bien que sa nouvelle période parlementaire eût démarré sous les auspices d’une alliance entre le PDP et le PS, des malentendus et des dissensions entre ces deux partenaires ne tarderont pas à se manifester.
Le club accède en première division en 1960 avant de redescendre deux années plus tard. Malgré le statu quo au niveau du jeu, ce sont les lillois qui ouvrent le score par l’intermédiaire de Roger Vandooren, qui s’était déjà illustré lors des deux finales précédentes. Malgré la fatigue due à sa reprise tardive, Ibra trouve le chemin des filets d’une frappe enroulée du pied gauche après moins de 2 minutes de jeu, sur une passe de Jérémy Ménez en profondeur. Après l’heure de jeu, Lens ouvre finalement le score. Le club décide alors de chambouler son effectif une nouvelle fois à l’intersaison 1997-1998 : de nombreux joueurs sur le carreau ne jouant pas dans leur club respectif signent alors au club : Nicolas Sachy (SCO Angers), Cédric Mionnet (RC Lens), Luis Sattora, Pius N’Diefi (Valence), Olivier Quint (Épernay), Pierre Deblock (Amiens SC), Aliou Cissé (LOSC), Alex Di Rocco (ESTAC), Cédric Elzéard (Amiens SC), Bruno Pabois (Dunkerque), Christophe Jouault (Angoulême). La vingt-neuvième journée voit le déplacement de Lens à Bordeaux. ↑ Affluences de la 38e journée de Ligue 1, 2006-2007 sur le site de la LFP.
La saison 1964-1965 du Stade rennais Université Club débute le 30 août 1964 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 30 mai 1965 avec la dernière journée de cette compétition. Malgré tout, le club finit la saison 1974-75 à la 4e place de division 2A emmené par Pierre Tordo. Le siège social fut alors implanté au bar André au plein cœur de la place d’armes, qui constitue le berceau historique du club. André Le Nôtre (1613-1700) qui a tracé les perspectives et voies de la forêt de L’Isle-Adam que certaines des avenues de la commune actuelle prolongent toujours. Après guerre, il s’installe à nouveau dans la commune jusqu’à la fin des années 1940, au 21 de l’avenue de Paris. Michel Droit (1923-2000), académicien, passe quelques années dans la commune avec son père Jean Droit, artiste peintre, qui y est enterré. Léon Fort (1870-1965), artiste peintre, décorateur, illustrateur, conseiller municipal, adjoint au maire, historien local, membre fondateur du musée d’art et d’histoire Louis-Senlecq. Le plus ancien est peut-être le Musée des beaux-arts de la rue Chanzy qui a été fondé en 1794 à partir de saisies révolutionnaires.
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